Mission rang B: Escortes marchands

Aujourd’hui je dois exécuter la mission que Takashi sensei m’avait donné, c’est à dire d’attendre des marchands au centre ville de Yuki et je dois les escorter jusqu’au port. Ensuite je dois prendre dix nouveau marchands et les ramener au centre ville ; c’est deux mission en une. Il était dix heure du matin et j’étais prêt, tout le monde était parti sauf moi donc je planqua la clef et je partis en direction du centre ville. Ce jour là il y avait le marché je ne pouvais pas les distingués parce qu’il y avait trop monde. Je remarqua un petit groupe excentré de la place je me dirigea vers le groupe puis demanda :

- Excusez moi vous êtes les marchands qui doivent se rendre au port ?

L’un pris la parole d’après moi c’était en quelque sorte leur chef

- Oui C’est toi qui dois nous escorter ?

- En effet c’est bien moi, vous êtes prêt on peut y allez ?

Les marchands s’interrogent puis se demandent entre eux :

- C’est ce gamin qui va nous escorter ?

Je me sentais vexer après avoir entendu cela, puis leur chef me tape sur l’épaule droite en leur disant :

- Et alors ça fait quoi si c’est un gamin qui va nous escorter !? Il a était engager pour ça il doit savoir faire son boulot il ne faut pas le sous-estimé !

Je me sentais encore plus gêner que tout à l’heure. Nous commençons à partir sans bruits et nous laissons la place avec tous ses bavardages s’éloignée tout doucement derrière nous. Nous passâmes la porte du village, les gardes nous regardèrent la franchir puis arrivâmes dans la forêt enneigés tout comme le climat quand je suis sortis de chez moi. Les marchands portent de gros sac et leurs pieds s’enfoncèrent dans la neige, ils soufflèrent de fatigues pourtant nous avons marché qu’une demie heure bon je leur dit de faire une pause de cinq minutes puis nous repartons, la neige cessai de tombée et leur chef resta debout il n’avait pas l’air d’être fatigué. Ils mangèrent de petit encas et ils se relevèrent tranquillement soudain j’étendit un bruit subtile. Je me mis sur mes gardes et leur dis de ne plus bouger et de ne faire aucun bruit. Six clones sautèrent des plusieurs arbres et ensuite ils se jetèrent sur moi. je tombai en arrière puis deux clones se dirigèrent vers le groupe de marchands l’un effrayé jeta un couteau dans le ventre d’un clone et il disparut pendant ce temps là alors que je me trouvais par terre je lança un shuriken sur l’autre clone puis il se volatilisa. Les trois clones restant me bloquèrent et le groupe restait là sans bouger mais leur chef jeta son sac sur la tête d’un des clones et il explosa. Il restait maintenant deux clones, je me demandais comment les abattre alors que j’étais bloqué. L’un des marchands dit tout fort :

- Et c’est ce gamin qui était censé nous escorté ?

Je lui répondit :

- Eh bien venez combattre à ma place puisque je suis si nul.

L’homme ce déplaça et il détourna l’attention d’un des sosies ; j’en profita pour lui donne un coup de pied dans la cheville droite pour le faire tomber et je m’aidais de mes pieds pour me relever et poussais le dernièr clone. Je lançais un Kunaï sur chacun des deux ennemis puis l’un esquiva alors que l’autre n’avait pas eu le temps… J’avais enfin en face de moi l’invocateur des clones. J’effectuai des signes tellement vite que l’ennemi fit un drôle de regard et je dis :


- La prison aqueuse.

Il était prisonnier de cette bulle d’eau, il était immobile j’en profitais pour rassurer les marchands et je créa trois clones. J’enleva la bulle et il tomba par terre parce que la prison aqueuse était suspendu en l’air. Le corps du gars était étalé par terre puis je m’avançais vers lui assez rassuré mais il se releva et me donna un coup de pied en plein dans mon menton et j’explosa dans les airs.

- Petit malin, tu ne vas pas t’amuser bien longtemps !

- Ah bon ? Dommage j’aurais bien voulu continuer.

Le combat n’était pas encore fini alors qu’ils se mettent de poings et des coups de pieds, les marchands se mobilisent pour mettre la victoire de Yukimori de son côté. Yukimori se retrouve par terre plein de sang, il se releva aussi vite que possible mais son adversaire est nettement plus fort que lui, il réussi a taper dans le ventre de Katsuo-kun, et Yukimori resta par terre.

- Alors tu rigole toujours morveux ?

Il me caressa la tête comme si j’étais son cobaye.

- Ne me sous estime pas !

Je pris son pied, je le fit tombé au sol puis le lança contre un tronc d’arbre. J’étais énervé, je courus vers lui et planta un Kunaï dans son bide mais il m’en empêcha en mettant sa main en travers.
Nous étions tous les deux essoufflés mais je forçais toujours j’y mettais toutes mes forces. Mais il résistait toujours et je lui mit un coup de poing dans le ventre puis il cracha du sang. Je lui pris une touffe de cheveux dans la main gauche et je tira vers le haut puis lui demandai :


- Qui t’envoie ? Pourquoi tu dois faire cela ?

Comme d’habitude aucune réponse à la question. Le gars était sonné il ne bougeait plus, les marchands venaient puis le pris par les bras et les jambes et ils l’attachèrent à un tronc d’arbre à l’aide d’une corde.

- Bon puisque tu ne répond pas on va te laissez là.

Je m’adressais ensuite aux marchands.

- Il se fait tard on va mettre un camp et on va passer la nuit ici.

Nous préparâmes le camp et les emplacement pour dormir et nous installons de la nourriture sur des couverture qui étaient posées sur la neige, alors que le gars et toujours attaché au tronc d’arbre.

- Au fait je vous ai vu vous regroupez tout à l’heure pourquoi ?

-Nous voulions trouver une tactique pour t’aider mais bon…

- Ah bon et c’était quoi ?

- Bah en fait on voulez l’entourer dans un filet mais en réfléchissant on c’est dit qu’il l’aurait coupé avec un shuriken ou un kunaï alors on a laissé tomber.

- Merci de vouloir m’aider. Bon c’est pas tout mais j’ai bien faim moi.

Il y avait une ambiance assez convivial malgré le climat qui c’était remis à neigé et il faisait encore plus froid que toute à l’heure alors que moi je grelottais en dessous ma cape blanche ; le chef des marchands me donna un manteau bleu qui me permettait de me réchauffer.
Après avoir manger en toute tranquillité nous commencions à dormir...
Je me réveilla apparemment le premier et le gars n’était plus attacher au tronc. Assez affolé je réveilla le chef des marchand :

- Monsieur, Monsieur !

- Ampph quoi qu’est ce qu’il y a ? Que se passe t-il ?

- L’homme que l’on a attaché au tronc est parti ! il faut partir avant qu'il ne fasse une nouvelle ambuscade.

- Bon ben je vais réveiller tout le monde et on va continuer le voyage .

Les marchands se levèrent au fur et à mesure puis nous partons pour le port.